L'autre côté de nulle part | Carnets de croquis : Jérôme Lereculey |
Des siècles après la grande catastrophe, les communautés humaines se trouvent cloîtrées en des enclaves temporelles. Il est impossible d’en sortir en raison de barrières invisibles et fluctuantes. Chaque territoire est un microcosme vivant en autarcie, dans un temps qui lui est propre. Sans route aucune. Où mèneraient-elles ?
Or voici que les temps changent, que les barrières s’évanouissent. Et l’on parle d'un lieu étonnant, mythique, nommé Mercoire, qui contiendrait tous les savoirs, tous les secrets. Qui serait le seul lieu de stabilité dans les temps troubles à venir.
Et si à Mercoire résidait le responsable de la grande catastrophe ?
Après Orinomaque, salué unanimement par la critique, voici un autre roman posthume de Jacques Boireau, marcheur-photographe soucieux d'écologie.
Préface de Joëlle Wintrebert.
Des siècles après la grande catastrophe, les communautés humaines se trouvent cloîtrées en des enclaves temporelles. Il est impossible d’en sortir en raison de barrières invisibles et fluctuantes. Chaque territoire est un microcosme vivant en autarcie, dans un temps qui lui est propre. Sans route aucune. Où mèneraient-elles ?
Or voici que les temps changent, que les barrières s’évanouissent. Et l’on parle d'un lieu étonnant, mythique, nommé Mercoire, qui contiendrait tous les savoirs, tous les secrets. Qui serait le seul lieu de stabilité dans les temps troubles à venir.
Et si à Mercoire résidait le responsable de la grande catastrophe ?
Après Orinomaque, salué unanimement par la critique, voici un autre roman posthume de Jacques Boireau, marcheur-photographe soucieux d'écologie.
Préface de Joëlle Wintrebert.
Des siècles après la grande catastrophe, les communautés humaines se trouvent cloîtrées en des enclaves temporelles. Il est impossible d’en sortir en raison de barrières invisibles et fluctuantes. Chaque territoire est un microcosme vivant en autarcie, dans un temps qui lui est propre. Sans route aucune. Où mèneraient-elles ?
Or voici que les temps changent, que les barrières s’évanouissent. Et l’on parle d'un lieu étonnant, mythique, nommé Mercoire, qui contiendrait tous les savoirs, tous les secrets. Qui serait le seul lieu de stabilité dans les temps troubles à venir.
Et si à Mercoire résidait le responsable de la grande catastrophe ?
Après Orinomaque, salué unanimement par la critique, voici un autre roman posthume de Jacques Boireau, marcheur-photographe soucieux d'écologie.
Préface de Joëlle Wintrebert.
Illustration de couverture : Michel Borderie
Dimension : Moyen format (127 x 203 mm)
Nombre de pages : 200
ISBN papier : 979-10-90931-96-1
ISBN numérique : 979-10-90931-97-8
Jacques Boireau
Jacques Boireau (1946 / 2011) était professeur de lettres ; passionné par l'écriture, la marche, l'escalade et la photographie.
Révélé en 1976 dans la revue Univers par Yves Frémion, publié au cours des années quatre-vingt par toutes les revues et anthologies (y compris par Libération), il a obtenu en 1980 le prix Rosny aîné pour sa nouvelle Chronique de la vallée.
Trop marqué Science-Fiction pour les éditeurs de littérature générale, trop mainstream pour les éditeurs de SF, Jacques Boireau a construit une oeuvre à part, en dehors des dictats du milieu éditorial.
Seuls deux romans et une quarantaine de nouvelles auront été publiés de son vivant ; et de nombreuses perles de cet auteur restent à découvrir.
Soutenu par une écriture fluide et qui suinte l'émotion, ce roman nous apporte très loin des romans post-cataclysmiques auxquels nous sommes habitués en proposant au contraire une "musqiue" bien plus originale. [...] Réflexion sur le temps, réflexion sur la mort, réflexion sur les différences et, bien plus encore, réflexion sur l'état de santé de notre civilisation, nous voilà au coeur des préoccupations actuelles sinon éternelles en filigramme de ce roman sans le moindre temps mort et à la trame parfaitement maîtrisée.
Jean-Pierre Fontana - Livre du mois pour l'Ecran Fantastique Octobre 2017